Le Drame macédonien

" ... Du moment qu'Alexandre reconnaissait l'inf廨iorit?de ses 廦uipages, sa flotte n'彋ait plus pour lui qu'une occasion de d廧enses et un embarras. Il n'h廥ita pas ?la dissoudre et ne garda pr鋊 de lui qu'un petit nombre de navires destin廥 ?porter ses machines de guerre. Le drame mac嶮onien, pour nous servir d'une expression de Plutarque, n'est donc pas un drame que nous puissions nous permettre, quelle qu'en soit notre envie, de transporter exclusivement sur la sc鋝e maritime. Le drame mac嶮onien, c'est, avant tout, le triomphe de la cavalerie. Il n'en rentre pas moins dans notre sujet, puisqu'il doit nous conduire au si銶e de Tyr et au voyage de N嶧rque.

Ce drame, qui devait renouveler la face du monde, s'ouvre brusquement. Les pr嶮嶰esseurs de Philippe auraient ?peine 彋?jug廥 dignes de tenir l'彋rier ?P廨icl鋊, - je veux dire de l'aider ?monter ?la perse, car les anciens n'avaient pas d'彋riers. - Ce ne fut que par gr歊e et par une sorte de condescendance bienveillante que l'on admit les premiers rois de la Mac嶮oine aux jeux Olympiques..."