Qohélet

On pourrait dire que Qoh幨et a l'humeur sartrienne, qu'il ressemble ?l'absurde d'Albert Camus. Cette fum嶪 qui s'幨鋦e de la cigarette des penseurs de l'apr鋊-guerre est pratiquement la m瘱e que celle qu'憝oque Qoh幨et dont les paroles bibliques, sans pudeur aucune, empreintes d'un r嶧lisme foudroyant, 幯um鋨ent les absurdit廥 existentielles. La Bible contient des 嶰rits vari廥 et fragmentaires (r嶰its des origines, textes l嶲islatifs, r嶰its historiques, textes sapientiaux, proph彋iques, po彋iques, hagiographies, 廧褾res) dont la r嶮action s'est 嶰helonn嶪 entre le VIIIe si鋃le av. J.-C. et le IIe si鋃le av. J.-C. pour l'Ancien Testament, et la deuxi鋗e moiti?du Ier si鋃le, ainsi que le d嶵ut du IIe si鋃le pour le Nouveau Testament. Ce pr廥ent recueil contient les Textes sapientiaux, et plus particuli鋨ement se penche sur le contenu et le message de l'Eccl廥iaste, qui se compose de r嶨lexions g幯廨ales, certaines pass嶪s dans notre langage courant, en paragraphes r廥ign廥 憝oquant le sens de la vie - ou l'apparente absence de sens - et d嶵ouchant sur quelques conseils pour la mener.